Pour y accéder, sans auto évidemment, un bac nous traversait sur un bras de la Meuse afin de nous permmettre d’accéder au centre administratif du départ, une taverne-restaurant très accueillante.
Sur la ligne de départ, 103 voitures se présentèrent. Deux boucles à parcourir entrecoupées d’un lunch au retour sur l’île vers 13 heures.
La deuxième partie du rallye se terminait vers 17h à la bourse de Ciney, où la remise des prix avait lieu à 19 heures sur le stand coorganisé avec l’écurie Val d’or. Nous avons pu y rencontrer deux dames au coup de volant hors du commun, Yvette Fontaine et Nicole Sol qui se sont distinguées dans les années 60/70 sur circuit et en rallyes.
Comme toute manifestation de ce genre, deux catégories sont proposées, Une soft, la "balade" et une plus technique, la "navigation". Deux roads-book différents, avec bien sûr des astuces et difficultés autres pour la "navigation".
Deux pour décider, c'est pas trop peu !
Un équipage heureux
Au terme des quatre sections (+/-170 kms), la première marche du podium était occupée par l’équipage Denayer/Courtois, la deuxième place revenait au duo Minguillon/ Sandront Bernadette et en troisième position, on retrouvait Leclercq/Leclercq sur une Opel GT 1900 de 1973.
Minguillon/Sandront
En catégorie "Ballade" le podium était occupé par l’équipage mixte Libon/Libon (Alfa Guilia Spider), suivi de Gystelinck/Dessureau(Opel kadett B) et Mertens/Rahir(Innocenti Cooper 1300).
Daniel Pigeolet nous a habitué au travers de ses rallyes à une qualité et une rigueur d’organisation, une fois de plus, mission accomplie et satisfaction totale des participants.
Chaque concurrent a pu apprécier le parcours que l’on pourrait presque appeler, la ronde des châteaux, merci à toi Daniel.
Ici, pas de CP, on continue sa route
Rendez-vous à la troisième manche du challenge Belgian Oldtimer Trophy , à Bioul, le samedi 8 juin, une organisation de Yannick Albert qui en est à sa première édition, "entre Sambre et Meuse"
Bonne chance à toi Yannick.
Photos : Jean-Luc Gérard & Cédric Franssen Texte : Jean-Luc Gérard