Voitures prestigieuses, une place de choix leur était réservée, mais côtoyant également d’autres autos et pas des moindre.
Collectionner à notre époque, oui, ou plutôt investir.
On assistait au même phénomène qu’au salon de Maastricht, l’envolée des prix.
Cette Porsche 356 coupé se "cédait" à 65.000 € et si l'envie vous venait pour un cabriolet du même modèle, vous doublerez le prix.
Vous voulez vous faire plaisir, avec un buget illimité, vous pouvez prendre les deux, elles sont si différentes. Observez!
Une belle américainne qui n'a pas à rougir devant les superbes italiennes de sa catégorie
Petit collectionneur s’abstenir, laissez la place aux financiers.
Dommage, l’évolution vers la hausse est évidente, mais attention au retour de manivelle, sans jeux de mots.
Il faut rappeler cette situation, a existé pour une grande marque de voitures de prestige italienne il y a quelques années.
Même les grands de ce monde ne roulent pas que dans des autos de prestige.
Bien que très jolie, cette Lancia n'est pas rare sur le marché de l'auto de collection.
L'ex. propriétaire, un homme de goût.
Quittons le hall principal avec un peu de regret pour le plaisir des yeux et rejoignons le hall voisin où nous retombons dans la plus juste réalité des choses.
Grand-messe pour tous les clubs qui ont rivalisé de création pour leurs mises en valeur. Enfin des autos (presque accessibles).
Deux autres halls qu’il ne fallait pas manquer, et qui étaient consacrés aux «marchands» et aux revendeurs de pièces et accessoires.
En conclusion, visite à ne pas manquer, mais rester les pieds sur terre, évitons un crash qui pourrait mettre notre passion en veilleuse.
Texte: Jean-Luc Gérard
Photos: Christian Halin